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 Hanae Ibihn - Princesse Rectrice

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Hanae Ibihn
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Hanae Ibihn

Messages : 20
Fiche : Sœur Sourire
Vice : La colère
Faction : Académie
District : Cénacle
Influence : 2487
Occupation : Princesse Rectrice, Première Magister de l'Académie.

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MessageSujet: Hanae Ibihn - Princesse Rectrice   Hanae Ibihn - Princesse Rectrice EmptySam 24 Mar - 17:41


Princesse Rectrice


Petit résumé :

1072 : Naissance.
1097 : Fin des études.
1098 : Mariage.
1113 : Devient Princesse.


Mon père était l'ancien (ancien-ancien ? Je ne sais plus combien il y en a eu entre deux) directeur du Grand Hôpital. C'est une bonne façon de commencer dans la vie. J'ai été adoptée quand j'étais bébé, donc je ne m'en souviens pas et il n'y a rien à en dire. Je le précise juste parce que les essayistes du café du commerce aimaient bien mettre mes petites sautes d'humeur sur le compte de mon probable abandon. Quand j'étais petite j'étais déjà en colère et impatiente, mais à un niveau assez raisonnable pour faire des études. Il n'y a rien de spécial à raconter à propos de mon enfance.

Je suis ingénieure pour tout ce qui est militaire, initialement (c'est là que j'ai appris tous mes jurons). J'ai des connaissances dans d'autres domaines, comme la médecine, mais juste assez pour savoir demander de l'aide avec précision et comprendre la réponse qu'on me donne. J'ai écrit un bouquin sur les batteries, leur miniaturisation. Voilà, j'avais déjà de quoi m'occuper.
Je me suis mariée ensuite ben... parce que ça se fait. Pour l'argent, pour la société, pour ne pas être toute seule sur l'entretien de la grande maison – mes parents m'ont adopté quand ils étaient déjà vieux et j'ai hérité jeune. Le gros critère c'était l'argent, et puis si ça pouvait être quelqu'un en mesure de me faire avoir des subventions plus facilement ça aurait été vraiment parfait.

Je suis devenue la belle-fille du doyen du département des mathématiques. C'était commode. Vieille famille, vieux argent, vieux prestige. De quoi se payer de la domesticité digne de ce nom, de se trouver de nouveaux loisirs comme la chasse ou la drogue de qualité. J'étais très jeune et je me sentais très intelligente de ma manœuvre, je n'avais pas envisagé toutes les conséquences à ce choix.
Déjà, d'une, d'avoir un parfait inconnu qui vient vivre chez moi. Je me disais qu'avec une maison de cette taille, ça serait difficile de me casser les pieds. Hélas je ne m'étais pas rendu compte que l'animal était doué de volonté propre, capable de marcher dix minutes à travers la demeure pour venir me faire chier. Il parle. Il se plaint. J'ai l'habitude de vivre avec des gens. Il y avait eu tout le temps des études, où je devais quand même passer ma vie avec des adolescents stressés et en manque de sommeil. Il y avait eu le travail. Et puis toutes les mondanités à faire si on veut gratter de l'argent. Mais rien ne m'avait préparé à un chouineur qui ne sait pas s'occuper tout seul. Quand les gens s'ennuient ils s'inventent des problèmes. C'est la douloureuse moralité de cette histoire. Il n'a même pas la décence de crever d'un de ses problèmes psychosomatique de merde. Il est toujours là, dans mes jambes ou à s'humilier en société comme tous les gens incapables de la boucler. Dès qu'il a bu deux verres ça devient un festival son et lumière d'anti-charisme au stade terminal.

Le second contrepoids de cet ascenseur social, c'est les enfants. Quand on parle de chouineurs qui traînent dans les jambes... je ne me suis pas posé la question de savoir si j'en ferais ou pas. Je n'ai jamais envisagé de jeter la question aux orties en me disant que je n'aurais qu'à payer des gens pour me torcher quand je serais vieille. Quand on en a les moyens on en fait, c'est plus poli pour tout le monde et c'est une assurance vieillesse, celle de ne pas se retrouver à la rue pillé par les vautours quand on commence à perdre la boule. C'est la vie. C'est comme ça. Puis quand on a un peu de pèze c'est qu'un mauvais moment à passer, on peut refiler le bébé à une nourrice et reprendre le cours de sa vie (j'ai même tenté de synthétiser du lait humain pour expédier cette histoire de nourrice, mais les test clinique sur des bébés se sont révélés désastreux).
J'ai torché l'affaire en produisant trois êtres humains vivants en cinq ans. Ils le sont toujours, bon boulot capitaine. Ma carrière a pris un petit coup de mou pendant cette durée, mais je pouvais pas faire mieux. Par espèce de fierté dynastique, pour ne pas paraître stérile ou frigide (c'est important de ne pas paraître ci ou ça quand on veut gratter des trucs) je les ai démoulé moi même. Ce que j'ai regretté très amèrement au bout de deux semaines d'aménorrhée, le tête dans les toilettes. Je ne vais pas te raconter tous les détails palpitants de la maternité, parce que tout le monde s'en fiche. C'est fait, voilà. L'avantage avec les gosses c'est que j'ai le droit de poser un verrou sur les pièces où je ne veux pas qu'ils aillent.

Mais ce considérable investissement a payé. Quand j'ai eu quarante et un ans, Alan Heston, premier Magister et Prince Académicien, a été diagnostiqué d'un cancer du pancréas. Ce qui lui laissait une petite poignée de mois pour se saouler à mort et faire des dettes. Il a eu la politesse de l'annoncer publiquement très très vite, pour nous laisser le temps de s'entretuer à mort pour hériter de son poste.
J'avais œuvré depuis des années pour être présente et donner mon avis partout. Être là. Les doyens me voyaient depuis plusieurs années à l'un ou l'autre dîners, nos enfants respectifs avaient joué ensemble. Nous parlons la même langue, nous nous sommes tapés les mêmes opéras et j'avais prouvé pouvoir me mêler à eux. Ils se méfient des magisters qui n'ont fait que plancher sur leurs recherches, comme des autistes. Pareil pour les boursiers. Au delà de mes compétences, je pouvais miser sur la connivence.

Mais un sale petit con avait eu la sotte idée d'inventer la grenade à fragmentation dans un timing qui tenait du destin. Son prototype tuait péniblement une ou deux personnes proches de l'explosion, mais il fallait être con pour ne pas voir le potentiel du truc. Et cette salope était le fils de la Première Prieuse de l'époque. Un peu plus vieux que moi, tout à fait sortable. Un putain de rival de merde !
Je te la refais calmement : Le grand chef va disparaître, et un salaud invente un truc génial qui fait très bien le spectacle quand on le balance quelque part. Du grand art. Les gens meurent dans un bruit de fin du monde avec des morceaux de métal partout dans la couennes (pour l'instant on en est à 32 éclats théoriques, si les victimes ont la politesse de s'allonger sur une grenade dégoupillée). C'est en plus très facile à produire. Obligé de penser à ce nom là pendant une élection. Lécher des culs à s'en peler la langue ça marche, mais être un putain de génie aussi.

Mais j'ai eu du bol. Un gars de mon équipe couchait avec le putain de génie, qui était trop occupé à du travail honnête pour se méfier de ce genre de bêtise. Du coup il m'a parlé de la grenade avant la publication, je le revois encore me raconter ça en toute innocence avec de l'admiration dans les yeux. Il me l'a répété sans y voir le mal, parce que je fais gaffe à engager des gens intelligents mais très candides sur le plan social. Je n'ai pas volé les recherches du génie, ça n'aurait pas marché, et ça aurait été débile. Pas si il était encore vivant.
Le poste de Princesse, c'était devenu un gros bonbon qu'une main céleste m'avait agité sous le nez, puis retiré d'un coup par le biais d'une conversation de trois minutes avec une andouille de sous fifre. Je gère mal la frustration. Ce n'était pas une obsession à la base, mais j'ai imaginé l'autre con en grand chef. Il allait faire comme les autres, être tout mou et se focaliser sur les sciences théoriques, s'entendre avec tout le monde pour rester jouer avec les copains et ne surtout rien faire d'intéressant. Être en quête de pourquoi l'univers, pourquoi la magie, pourquoi des trucs dont on se fiche et qui n'ont aucun impact sur nos vies se déroulent à des milliers de kilomètres de nous. Je dis pas que c'est pas intéressant, mais nous ne sommes pas des esprits désincarnés en train d'observer des cailloux froids tourner autour d'une boule de gaz en train de brûler. Je préfère chercher comment faire pour qu'un canon se recharge en moins de cinq minutes, quelle température il faut pour faire brûler un cadavre jusqu'à le désintégrer et comment faire pour balancer un gaz qui fait fondre les poumons sans que le vent l'emporte en trois secondes. Globalement j'aime voir le fruit de mon travail exploser quelque part. Transposer l'affaire à plus grande échelle n'était pas une idée déplaisante.

Donc, j'ai tué mon rival. On va pas se mentir, tu sais déjà que j'ai eu le poste. Mais chut hein ? C'est pas facile de planifier un meurtre. J'ai fait plein de « dommage collatéral » et de « test cliniques », mais jamais de meurtre. Il me fallait un voleur très con. Ou un assassin très con. Mais je n'en connaissais pas. Même des intelligents. Pourquoi j'en connaîtrais ?
Pour la méthodologie, j'ai fait une bombe. Parce que je ne sais faire que ça. Une fois j'ai été consultante sur une histoire d'attentat pour aider le Prieuré. Je sais comment ces attardés font leurs bêtises, avec leurs petits moyens. En faire une imitation n'est pas difficile. Ils utilisent des produits courants.
La partie hasardeuse et pénible du plan, c'était d'envoyer la bombe à mon assistant le soir où il était avec son ami, ci-joint une petite note « regarde c'est pour ton anniversaire appuie sur le gros bouton rouge ». Je l'ai joué plus fine que ça mais grosso modo c'était l'idée. Et ça a marché. Il y aurait eu dix milles raison pour que ça ne marche pas, c'était somme toute une solution très con. Mais ce soir là j'étais en train de boire du whisky en regardant dans le vide, devant mon établi. J'étais en train de rager. Rager comme on a jamais rager dans l'histoire de la rage. C'est vraiment un jeu d'enfant de faire une fausse bombe de terroriste. Le lendemain j'ai vu dans les journaux que j'allais avoir une grosse promotion et que je pouvais lancer des entretiens d'embauche pour un assistant neuf.

A un moment je suis allée rendre visite à la récente veuve du génie. C'est des choses qui se font quand on est poli. C'est la petite cousine de l'associé de mon mari quand même. Quasiment de la famille, je l'ai vu au moins une fois. A cette occasion j'ai ramassé deux trois feuilles qui traînaient l'air de rien et j'ai inventé une super grenade avec un délais de politesse d'un mois. Des gens de l'équipe du mort ont bien sûr remarqué mon vol, mais me dénoncer les aurait transformé en sales petites poucaves qui ne retrouveront jamais du travail. Personne n'aime les cafteurs. Et puis tout le monde s'en fout, sauver l'honneur d'un mort ça pose plus de problèmes que ça n'en résout. Le meurtre c'est une autre histoire bien sûr, mais c'est les terroristes qui l'ont fait. Putain de syndicalistes fouteurs de merde. D'autres politiques ont repris l'histoire pour leurs projets personnels  c'est devenu un fait établi. On a trouvé des tas de motifs à ce sale anarchiste anti-progrès.

En 1113, à 41 ans, j'ai eu le gros bonbon. A moi toute seule. Une belle occasion de sautiller sur place en poussant des cris suraigus dans l'intimité de ma chambre. Dans un brouillard de joie (« l'Académie est à moi c'est à moi tout à moi je les ai tous niqué à moi à moi à moi à moi ») j'ai pu commencé ma politique glorieuse de trucs qui font boum.
Je me suis rapproché des industriels pour ça. J'ai dépoussiéré une vieille combine de mes prédécesseurs  : les brevets. Pour faire simple, utilisé comme il faut, ça revient à faire un permis à gros sous. Tu n'as qu'à glisser ton bon point dans le string de tes meilleures putes. Les autistes dans leurs labo non privatisés pleurent, évidemment, mais qu'est ce que j'y peux ? En plus sur le plan personnel j'aimais bien Denvis Shah. On chassait ensemble depuis plusieurs années. Il a appuyé mon élection. C'était facile de faire des affaires avec. Ça ne m'a pas empêché de tirer le tapis sous les pieds de sa faction entière quand il a fallu élire son successeur, mais quand même.

Mais je suis bien obligée de parler de l'Accident. Ça prend trop de place dans ma vie pour l'ignorer. C'était il y a dix ans. Je chassais, le cheval m'est tombé sur la guibole. Les secours ont mis trop de temps à arriver. J'étais en train de mourir. J'ai entendu quelqu'un dire « syndrome des loges ». Je savais que ça voulait dire que là, maintenant, sur place, un boucher allait venir avec une scie. C'était horrible. Je préfère ne pas en parler.
J'ai fini par arriver au Grand Hôpital. Je me suis réveillée, et il ne me restait qu'un moignon de cuisse, à droite. Les salopards de bouchers. Fumiers. Voleurs de jambes. Il m'a fallu deux ans pour aller seule m'asseoir aux toilettes. J'ai failli perdre mon poste pour incapacité. C'est très long pour récupérer mais je n'étais pas la mieux équipée pour gambader sur une prothèse six mois après. J'ai eu trois bébés qui sont passé par mon petit bassin d'enfant de huit ans, j'avais déjà un certain âge... encore aujourd'hui, si il faut faire de longues distances, je suis obligée de retourner dans mon fauteuil roulant. La chasse, c'est fini. Maintenant je vais à la pêche.

L'oisiveté forcée et la douleur n'ont pas arrangé mon caractère. Je me suis découverte une passion discrète pour l'alcool, le soir, quand je n'arrive pas à m'occuper ou à dormir. Il me reste le boulot. Faire chier le monde ça m'aurait fait sortir de ma tombe, ce n'est pas perdre un énorme morceau de moi même qui va m'arrêter.
Nom :  Ibihn.
Prénom :  Hanae
Âge : 54 ans, née le 27e jour de la Saison de la Forge 1072.
Genre : Féminin.
Titre(s)/Métier : Princesse Rectrice, Première Magister de l'Académie.
Faction : Académie.
District : Cénacle.
Vertu : Rien.
Vice : La colère.
Etranger : Non.
Pouvoirs : Magister [++]
Mécanique [+]
Prothèse [+] (jambe mécanique)

opinions

J'aime l'application scientifique, j'aime voir les étrangers avec des arcs et des flèches quand nous pouvons faire pleuvoir le feu, l'acide, la maladie. J'aime avoir quelques gens très très bons plutôt qu'un tas de niveau moyen. J'aime que les petits autistes de chez moi et les petites tarlouzes du Conservatoire la bouclent. J'aime remplacer les ouvriers par des machines, et j'aime que ceux en sursis de chômage n'interrompe pas les chaînes de production avec leurs bêtises. J'aime voir un ambassadeur danser sur mes genoux parce qu'il a vraiment besoin de ce médicament contre cette maladie que nous savons déjà guérir depuis cinquante ans.
On peut dire, en quelque sorte, que j'aime beaucoup Excelsa. Ou que je m'aime beaucoup. Moi je me vois plutôt comme un chien qui poursuit seulement pour le plaisir de courir, ou une pie qui fonce sur les objets brillants. Avec des histoires d'ego en plus. Je ne sais pas, je ne suis pas très portée sur l'introspection.



Descriptions

Je suis petite, brunette, avec la corpulence d'un enfant sous alimenté. J'ai jamais été épaisse, mais le petit soucis de santé que j'ai eu il y a quelques années n'a rien arrangé. D'ailleurs, autant parler de ça maintenant : ça a beaucoup d'impact sur mon quotidien quand même.
J'ai perdu une jambe pendant un accident de chasse. Le cheval m'est tombée dessus en ratant un saut de talus. Même avec la meilleure technologie du monde, personne ne peut faire aussi bien que le modèle original. Il me manque vraiment beaucoup. Certes ça arrive à des tas de gens de perdre un morceau, oui j'ai beaucoup plus de moyens que les autres pour pallier à ce triste accident, et oui je n'aurais peut être pas dû lancer mon fier destrier au triple galop à travers la pampa quand alors que j'étais saoule perdue. Mais bordel de putain de merde ça fait chier.

J'ai plusieurs prothèses. Une toute bête qui se plie au genou, conçue pour être la plus légère possible et qui me permet de boiter sur de longues distances. Une autre, plus lourde, qui relève le tibia tout seul quand je marche, au moment où je lève le pied, ce qui n'a l'air de rien comme ça. Effectivement. Mais ça me fait gagner beaucoup d'élégance et de rapidité, une fois habituée à avoir une ancre de bateau accrochée à mi-cuisse. Son autre problème c'est qu'elle n'a qu'une petite batterie. C'est dommage mais on ne peut pas faire mieux, je ne peux pas me permettre de construire plus lourd – rapport à mon physique peu adapté à ça. Cette prothèse a aussi deux trois fonctionnalités en plus, c'est la jambe des grandes occasions quoi. Sinon je teste d'autres idées de temps en temps – une qui fait de la lumière ou qu'on peut détacher et transformer en siège –, mais dans le fond c'est de la merde. Une jambe c'est fait pour marcher avec, et celui qui a inventé le corps humain a trop bien fait son travail pour que je parvienne à la même efficacité avec des mécanismes d'horlogerie et de verins qui font trois kilos.

J'ai beaucoup d'ennemis : les architectures anciennes à base de petites marches partout, les pentes douces, les toilettes à l'étage, la boue, les chiens, les cérémonies officielles trop longues où il faut être debout, les sièges trop bas, le taux d'alcoolémie trop haut, les enfants qui laissent traîner leurs jouets, les tâches qui demandent de se lever souvent ou de piétiner et tout un tas d'autres trucs. Je ne peux pas me permettre de faire une liste exhaustive.

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Otton Egidio
Prince Prieur

Otton Egidio

Messages : 662
Fiche : Ici
Vice : Luxure
Faction : Prieuré
District : Prioral
Influence : 3404
Occupation : Premier Prieur
Disponibilité : Je vis ici

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MessageSujet: Re: Hanae Ibihn - Princesse Rectrice   Hanae Ibihn - Princesse Rectrice EmptySam 24 Mar - 17:43

J'ai lu la fiche en primeur absolue donc on va pas tourner autour du pot.

C'est nickel et validé /o/

L'Académie a sa Princesse, gloire à l'Académie !


Bon amusement à toi !
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Hanae Ibihn - Princesse Rectrice
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