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 Jakab Tangara [Achevée]

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Jakab Tangara
Excelsien(ne)

Jakab Tangara

Messages : 24
Fiche : Par là.
Vice : Vanité
Faction : Oisillons
District : Domus
Influence : 2491
Occupation : (co) Chef de gang
Disponibilité : DM me ~

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MessageSujet: Jakab Tangara [Achevée]   Jakab Tangara [Achevée] EmptyLun 30 Juil - 16:25


« Et là le type me dit ‘‘il faut que tu me voles un rein, Jak’’! »


Première décennie :

Au risque de ne surprendre personne, l'enfance de Jakab et Djilla, dans ses grandes lignes, en tout cas, fut absolument sinistre. Peu de gens atterrissent là où ils sont aujourd'hui sans un peu de lugubre ou d'épouvantable parmi leurs tendres années. C'est pratiquement une section à part entière du formulaire d'entrée...

La cigogne, pas malveillante pour un sou, avait cru qu'il suffirait de les déposer dans une famille de joailliers sans histoires, ni trop fortunée ni trop galleuse, du faubourg de Sainte Héléna, pour qu'un futur radieux leur sourie.
Cette pauvre gourdasse aurait mieux fait de se préoccuper des circonstances de leur conception.

Lorsque Elisa Riviera se retrouva enceinte du frère de son mari, Mr Domenico Riviera, elle fondit en sanglots. L'affaire était, comme annoncé, particulièrement sinistre, et la pauvre femme n'eut, pour s'éviter la disgrâce et l'amertume, d'autre choix que de celui de se retirer à la campagne, pour raisons de santé obscures, et d'y enchaîner grossesse, accouchement et dépression nerveuse sous le regard compréhensif du médecin de famille. Les enfants (puisqu'en plus d'être des rejetons du viol et de l'inceste, ils avaient l'indélicatesse d'être deux) furent confiés à la charge de Libella Ferri, une pauvre fille qui vivait sur le port, dans un premier temps, puis, à la mort de celle-ci, aux mains des prieurs de l'orphelinat.

Rien de tel pour modeler des esprits jeunes et déjà marqués par le sinistre de l'existence qu'un bon surplus d'austérité, d'endoctrinement et de discipline...

Si Djilla (renommée 'Maria' par la ville, à défaut d'acte de naissance officiel, à l'entrée à l'orphelinat) avait moins de difficultés à supporter et contourner l'omniprésence des règles et de la sévérité de leurs précepteurs, Jakab (de même, 'Tito', à l'époque) s'en sortait beaucoup moins bien. Il faisait partie de ces mômes impertinents, incapable de comprendre que l'absence de douleur est préférable à la liberté de faire des conneries.
Entraînant sa sœur, il déserta l'orphelinat à l'âge de huit ans pour rejoindre les rangs des gamins de la rue, la crasse, le chapardage et la mendicité.

Mais quand on a huit ans, le goût de la liberté, et un cruel besoin d'échapper aux hommes en rouges et à leurs stupides orphelinats, le seul moyen de rester dehors, c'est de se trouver un nid...


Deuxième décennie :

Celui qui en hérita, après quelques essais infructueux, s'appelait Wokabi Tangara. Un humble voleur avec deux petits yeux bleus, quelques semblants de bonnes manières et une minuscule chambre mansardée coincée au-dessus d'une taverne bruyante. Il y avait quelques trous dans la toiture, et le nombre de repas d'une journée était souvent variable, mais dans l'ensemble, les jumeaux, rebaptisés, pour l'honneur, de leurs prénoms définitifs, auraient pu tomber sur bien pire.

En échange du gîte et du couvert, ils lui servirent de distractions et de mains d'œuvre diverses. Ils chialaient dans les jupons des bonnes dames pendant qu’on vidait leur sac, ou bien transportaient des messages dans leurs petites poches. Ce genre de bêtises pour lesquelles il est très pratique d’être petit, discret et attendrissant.
Le frère, plus agile et plus avide de connaissance en ce qui concernait l'univers très vaste des arnaques et détroussages de tous poils, se révéla un élève plutôt brillant. La sœur, moins bonne menteuse, et plus assoiffée de lectures que de bagarres, se dégotta une place à la taverne où elle apprit à faire la vaisselle, les comptes, et les bases de cette politique alcoolisée qui est si propre aux piliers de comptoirs.

Ils passèrent là quelques années plus ou moins honnêtes, mais surtout tranquilles, loin de Sainte Héléna, de ses richesses, de ses oncles libidineux et de la dépression nerveuse inconsolable de leur mère biologique.

De la pauvre femme ils ne connaissaient que le nom, inscrit en lettres maladroite derrière une vieille photographie, que leur avait confié Libella, un peu avant sa mort. Djilla l’avait conservé, peut-être avec l’espoir secret que cette mystérieuse mère biologique ne revienne les chercher. Jakab, lui, s’en fichait pas mal. Il se faisait plutôt bien à son nouveau monde, peuplé d’anciens mômes de l’orphelinat ou bien des caniveaux, tous devenus brutes ou voleurs pour s’élever doucement vers l’âge adulte, tous comme lui, avec des rêves bien étriqués de richesse et de pouvoir.

Ils avaient, Djilla et lui, presque 18 ans, lorsque l’incendie réveilla le souvenir d’Elisa Riviera à leur mémoire. La pauvre femme, sans doute au bout d’une longue décennie de solitude et de détresse silencieuse, avait attendu les célébrations de la Fête des familles, aux premiers jours de la Saison du Repos, pour incendier le manoir familial, et tous ceux qu’il contenait. Adieu aïeuls, enfants, mari, et surtout, surtout adieu Domenico. Que les tortures éternelles de l’enfer t’accueillent chaleureusement.

De ce massacre, seuls en sortirent vivants quelques domestiques, la femme d’un oncle éloigné, ainsi que le fils unique de Domenico : Alfiero Riviera, un petit rouquin chétif sorti fumer en douce derrière la maison au moment du drame.

Les jumeaux ne pleurèrent pas vraiment, lorsque Djilla apprit par les journaux la mort de cette mère qu’ils n’avaient, finalement jamais connu. Pourtant, poussés par un savant mélange de soif d’héritage éventuel et de curiosité, ils se décidèrent à prendre contact avec ce cousin (/frère) rescapé. L’expédition, en revanche, s’avéra bien décevante, et ils ne rentrèrent chez eux qu’après s’être fait rire au nez par un notaire, puis chassé par des domestiques.

La parenthèse sur ce restant de branche principale, dans l’arbre généalogique déraciné des jumeaux Tangara-Riviera, est longue mais nécessaire. En effet, ce cousin survivant, seul héritier de la bijouterie familiale, et pauvre bougre que la vie avait bien accablé, lui aussi, ne se contenta pas de reprendre la place occupée par son père.

Il fut héritier de l’intégralité de ses possessions, y compris d’un petit journal à couverture de cuir, dans lequel il put apprendre, des années plus tard, et par le hasard le plus complet, à quel point son défunt père était un affreux salaud.

A ce jour encore, le sentiment de culpabilité vis-à-vis des fautes de son père, et de l’injustice vécue par sa tante et ses cousins, hante chacune de ses heures. C'est probablement dans le but de la soulager un peu, ou du moins de réparer ce qui avait été commis vingt ans plus tôt, qu’il se mit à leur recherche pour la première fois.


Troisième Décennie :

Wokabi Tangara avait pris sa retraite, lorsque le "cousin" Alfiero remit la main sur les enfants d'Elisa.

Les jumeaux, à présent des adultes bien faits et des roublards accomplis, avaient, en place de leur père adoptif, un peu agrandi et retouché le réseau familial. Ils s'étaient établis dans le quartier de la vieille auberge où Djilla avait longtemps travaillé, et où elle faisait encore les comptes pour la vieille tenancière qu'elle appelait maintenant "Tante Nour". Leurs rangs comptaient une demi-douzaine de jeunes loubards (et loubardes), pour la plupart des amis de Jakab, et si la hiérarchie, en ce temps, était un peu pllus libre et bordélique qu'elle ne peut l'être aujourd'hui, la chose était fonctionnelle.

En somme, le travail était simple. Les gens venaient voir les jumeaux avec un problème (souvent un objet qu'il désirait et qui ne leur appartenait pas, parfois simplement un message à faire passer à coups de poings), ils réglaient le problème ou envoyaient leurs amis le faire pour eux, on les payait, ils payaient leurs amis.

Parfois il fallait se frotter à d'autres petits gangs naissants, ici et là, dans leur recoin de Domus, ou parfois on perdait quelqu'un sous les coups d'un prieur et c'était dans ces moments-là que la loyauté de leurs hommes était mise à l'épreuve. Pourtant leur petit fief tenait bon, année après année, et bientôt ils eurent même quelques orteils dans le reste de la rue.

C'est dans cet état qu'Alfiero les retrouva, encore tout écrasé de chagrin et de regrets. Il se confondit en excuses, très mal à l'aise de voir à quelles extrémités la vie - et leur famille - les avait réduits, et pour soulager son esprit, leur fit l'offre d'une rente conséquente, qu'il pourrait leur payer sur les revenus de sa modeste boutique.
Mais si Jakab fut longuement tenté par cette perspective, sa sœur, elle, avait une autre idée en tête.

Une idée brillante comme les pierres de la "Notte Stellata", la bijouterie d'Alfiero...

Par la suite, les choses changèrent un peu au sein de leur organisation.

Tout d’abord, on révisa la hiérarchie. Sous les ordres des jumeaux se trouvaient désormais trois « lieutenants » : Tante Nour, une femme malentendante de 67 ans, tenancière de « La carie du crocodile », Nesrine, une jeune brune d’une vingtaine d’année, toute aussi volontaire qu’impulsive, mais redoutable avec un couteau dans les mains, et enfin un colosse qui ne répondait qu’au surnom de « Grand Sim’ », et qui surplombait souvent son entourage d’une bonne tête ou deux.
Aux ordres de chacun de ces lieutenants, deux ou trois membres, chacun plus ou moins doué pour certaines tâches, et qui étaient bien souvent les exécuteurs du gang. Enfin, tout en bas de la chaîne, un ou deux orphelins ramassés dans la rue, et employé à la taverne par Tante Nour. Une sorte de retour à l’envoyeur.

Le principe de base n’avait, quant à lui, quasiment pas changé. Les gens venaient toujours avec leurs problèmes, et repartaient toujours moins riches qu’ils n’étaient rentrés. La seule différence, c’est qu’à présent, on n’acceptait plus que les paiements fait sous la forme de pierres ou de métaux précieux. Des rubis volés aux vieilles bagues de fiançailles d’aïeules oubliées, les Concubines, telle une bande de pies avares, n’acceptaient plus que les choses qui brillent en guise de salaire.

Les pierres devinrent même leur marque de fabrique, portées en bijoux à l’oreille droite, où bien en petites bagues aux doigts de leur membres.

Quant au reste du butin, il était discrètement acheminé vers la bijouterie désormais ‘familiale’, où il était ensuite retaillé, refondu, remoulé, remonté en bagues et bijoux divers, puis vendus. Dans la plus absolue légalité. Seule la paperasse était falsifiée pour en masquer la provenance réelle. Probablement pas suffisamment bien pour résister à l’enquête approfondie d’un œil entraîné et averti, mais comme aucune trace ne subsiste de la parenté entre les Riviera et les Tangara, mettre le doigt sur la bonne aiguille serait forcément la partie la plus compliquée d’une telle investigation.

Pour le moment, le système tient, et les jumeaux prospèrent, eux et leurs précieuses petites Concubines...

Tangara: Tangara
Prénom : Jakab (Jak)
Âge : 31 ans
Genre : Masculin
Titre(s)/Métier : (co) Chef du gang « Les Concubines »
Faction : Oisillons
District : Domus
Vertu : Pugnacité
Vice : Vanité
Etranger : Non
Pouvoirs :
● Oisillons (gratuit) : Contacts  
● Oisillons (payant) : Dur à cuire [300PI] : (Résistance+Bagarre)
● Personnage : PNJs [300PI] (Membres du gang)
● Charisme : Charme [100PI]


opinions

Bon, c'est vrai, il faut bien que je l'admette, je suis loin d'être la pierre la plus brillante de la parure familiale. Ma frangine a tout un tas d'opinions politiques, elle lit le journal, elle s'informe, elle assiste même à ces débats révolutionnaires à la con, qui s'organisent, parfois, dans des caves puantes près des Docks. Moi je n'en saisis pas l'intérêt.

Pas que je manque d'ambitions, loin de là, simplement je me suis fait une idée des limites de mon univers, et je ne m'intéresse pas énormément à ce qui peut bien se magouiller en dehors. Mon monde à moi, c'est les ruelles pleines de sel et de moisi du quartier de Domus. Plus précisément, les quelques rues que j'y ai arraché au reste de la marmaille enragée qui hante les boyaux de cette ville. J'ai mon fief. Mon business. Parfois je grignote sur celui des autres et parfois ils grignotent sur le mien. Tant que je peux me rouler dans la caillasse qui brille à la fin de la journée (pas littéralement, ça pique ces choses-là), payer mes hommes à la hauteur de leur loyauté, et peut-être me coucher plus riche que la veille, alors moi je ne demande rien de plus.

Mes délires de grandeur je les calme en claquant du bourgeois dès que j'en ai l'occasion et en comptant mes petits cailloux comme un vrai collectionneur à la fin d'un mois particulièrement rempli. Pas besoin d'aller me déguiser en aristocrate pour comploter des coups d'états à deux balles dans la cour des grands, ou bien de sautiller sur les toits avec un masque et des collants pour affronter les prieurs au fleuret.

Dans mon monde, j'suis un caïd. Dans le leur, pas grand-chose de plus qu'une puce sur le cul d'un de leurs poneys de concours. Qu'est-ce que j'aurais à gagner à me mêler de tout ça ?

Peut-être que si les affaires continuent de tourner et que je mets assez de p'tites pierres de côté, un beau jour je pourrai nous payer une jolie retraite au milieu des suceurs de caviar, avec jardin privé, domestique, petit chien bien coiffé et toute la panoplie. Ma frangine pourra financer sa révolution en revendant des commodes, et moi je ferais mes vieux os en pétant dans la soie.

Le truc sur lequel j'ai une opinion, en revanche, c'est ces endives du prieuré, et leurs petits uniformes à la con. Mon opinion, c'est que c'est tous des fils de gniafs, et qu'y vaut mieux bien taper dessus que d'essayer de leur filer du pognon.
C'est comme les cafards : au final, y'en aura toujours autant dans ta barraque, et tu prends même le risque qu'ils pondent des œufs en crevant, mais au moins t'auras eu la satisfaction de le sentir éclater sous ta chaussure.

Nous aussi, de toute façon, on se multiplie quand on nous tape dessus, alors cette guerre-là, ils sont pas prêts de la gagner.



Descriptions

Jakab est un drôle d'oiseau, même en le comparant aux standards de sa propre faction. Grande perche basanée, tout en angles et en contusions diverses, il aime à laisser ses penchants pour la provocation se mêler de ses choix vestimentaires.

De ses chemises aux manches flottantes et aux cols dentelés, jusqu'à la rocaille montée en bijoux racoleurs dont il se pare comme d'une collection de trophées, le garçon a toujours eu un goût prononcé pour le clinquant et le raffiné. La chose, pourtant, cohabite assez étrangement avec sa dégaine de bandit pouilleux, car le gamin des bas quartiers ne disparait jamais vraiment derrière ses ersatz de bourgeoisie rafistolée.

Ni sa poignée de cheveux noirs en bataille, qu'il met beaucoup de soin à essayer d'ordonner, ni tout le maquillage qu'il pourrait déployer pour adoucir les angles trop saillants de son visage et ses petits yeux noirs, bouillonnants d'électricité, ne feront quoi que ce soit pour démentir la véritable nature de ses origines sociales. Quant à ses deux dents en or, et les dizaines de cicatrices qui lui décorent la peau du ventre et des bras, elles sont autant de marques indélébiles que la vie « en bas » aura laissé sur lui pour toujours.

Il lui arrive pourtant parfois de pousser le vice plus loin et, écumant les music-halls et les soirées déguisées les moins respectables des bas quartiers, de céder la place à son alter égo de guindaille : la Comtesse Jacqueline de Saint Myr, une épouvantable drag queen au franc parler et aux manières de fille de joie. Ces occasionnelles virées nocturnes sont un bon moyen pour lui d'évacuer toutes les frustrations que la responsabilité du pouvoir fait peser sur ses épaules. Et aussi une très bonne excuse pour finir ivre mort sous la table d'un bordel quelconque, un tatouage non identifié sur une fesse et la main inerte d'un amant sur l'autre.

On a tous besoin d'un hobby, après tout.

Mais Jakab n'en est pas non plus quelqu'un d'irresponsable. Au sein de sa petite bande de truands, si la plupart des tâches de gestion, ou de trésorerie sont confiées à sa sœur pour d'évidentes raisons d'efficacité, il n'en reste pas moins un leader charismatique, volontaire et pugnace, capable de baratiner son chemin jusqu’à l'intérieur de la plus inhospitalière des bourses.
Parfois, même, lorsque la situation le demande, il n'hésitera pas non plus à mettre la main à la pâte (ou plutôt les marrons à la bouche de ceux qui se croient plus malins ou plus costaud que lui) et à se salir le museau en trempant dans les activités les moins recommandables de son gang. Seule sa sœur et son cousin restent véritablement immaculés.
Il défendra l'honneur et la vie de ses employés jusqu'à risquer la sienne, et, au contraire, n'éprouvera aucune pitié envers celui qui trahira cette relation.

Illettré, enfin, contrairement à sa sœur, il fait pourtant de nombreux efforts, en secret, pour corriger cette défaillance, bien qu’il n’y soit pas toujours très assidu. Cela reste une des seules choses au monde qui soit capable de lui faire honte, alors il le dissimule aussi habilement qu’il le peut en feignant, à l’heure des lectures, la paresse ou l’ennui.


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Khephren Amonnkaht
Excelsien(ne)

Khephren Amonnkaht

Messages : 151
Fiche : Prince Ambassadeur
Vice : Insouciance
Faction : Conservatoire
District : Virtua
Influence : 2423

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MessageSujet: Re: Jakab Tangara [Achevée]   Jakab Tangara [Achevée] EmptyLun 30 Juil - 18:08

Bonsoir et bienvenue (officiellement) parmi nous !  010

Ta fiche était très agréable à lire. J'ai pas noté de problème de contexte et le personnage est chouette. Il  a une présence que j'aime bien :) Bref, rien ne semble s'opposer à une validation !

Bon jeu parmi nous ! 021
Si le cœur t'en dit, vient te présenter dans le flood aussi : https://excelsa.forumactif.com/f87-presentations !
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Jakab Tangara [Achevée]
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